Cette campagne de communication pour Neuf Telecom est-elle l'aveu d'un échec de la part de l'agence de communication ou le fruit d'une réelle réflexion stratégique? Ou alors, autre hypothèse, elle décrit les réels débuts d'une relation difficile entre une agence et son client. C'est peut-être tout cela à la fois.
Mais est-ce le plus important quand le résultat est là? Et il est là, n'est-ce pas?
En revanche, cela appelle une autre question : pour toutes les trop nombreuses publicités médiocres et pourtant diffusées, qui doit-on incriminer? L'agence pour sa proposition ou son client qui l'a finalement acceptée et sans doute payée?
1 commentaire:
"qui doit-on incriminer?"
C'est la vrai question.
Il me semble que la probabilité qu'une "bonne" agence rencontre un "bon" client est certes plus forte que celle de gagner à l'euromillion, mais reste tout de même assez faible. Ceci explique sans doute cela.
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